Présentation de mon champ de recherches

PRESENTATION
Dans le cadre de mon master à l'ISP, l'année prochaine, j'ai retenu :les Actes d'agressions à l'école, comme sujet de recherche. Il est question dans un premier temps, de rassembler tous les actes de violence les plus récents, qui se sont produits dans les établissements scolaires en France comme ailleurs. Ensuite nous passerons à l'identificatioin et à la classification de ces actes. Dans un second temps, nous porterons un regard analytique pour en déceler les motivations et les facteurs et les raisons de ce nouveau phenomène de violence scolaire qui ne cesse de défrayer la chronique. Enfin nous ferons des propositions qui iront dans le sens de la responsbilisation des parents, de l'institution scolaire et des politiques de l'Etat, afin d'inviter tous les acteurs sociaux impliquer dans l'éducation des enfants, à s'engager et se mobiliser dans la lutte contre ce phénomène qui menace l'avenir de la société.

mardi 7 avril 2009

Discrimations et extrémisme à L'école
Les enquêtes de ces dernier jours dans les établisements scolaires font état
de la montéé des extrémistes et des discriminations en milieu scolaire. Ces faits ne
sont pas nouveaux, et depuis des années, ils n'ont pas été éradiqués. Aujourd'hui cette montée
inquiète tous les acteurs sociaux. D'une part, des petits gropuscules défendent des idéologies en
manquant de tolérence envers ceux qui ne partagent pas les mêmes convictions qu'eux. A ce titre, ils sont donc prêts à commttre des actes d'agressions pour défendre leurs idéologies, à l'intérieur même de la cours de l'école. D'autres part, certains élèves sont mis à l'écart par leurs pairs parce que tout simplement ils ne partagent pas les mêmes origines, religions, quartiers. Alors des barrières sont érigées entre élèves qui ne se communiquent plus avec les autres, souvent stigmatisés. Dans ce contexte, ces derniers se sentent non reconnus et frustrés, et finissent par developper des attitudes de violences, un moyen pour eux de se faire entendre et s'affirmer.
Qui est réllement plus violents: les auteurs de la disrimination ou les victimes? Comment se situer face à ces deux formes de violence: la discrimation et l'extrémisme? Qu'est ce que l'école peut faire pour mettre fin à ces formes de violence?

lundi 9 mars 2009

Comment lutter contre l'essor des jeux dangereux à l'école

Il y a à mon avis un autre fait auquel je vous convie de refléchir: Ce sont les jeux dangereux et les pratiques violentes au sein des établissments scolaires. C'est un phénomène récent, mais récurrent qui met la vie des élèves en danger; même si l'on ne dispose pas avec certitude le nombre de victimes, les enquêtes publiées par SMUR pédiatrique donnent des résultats édifiants sur l'ampleur et la gravité de ces jeux. A titre d'illustration, en la seule année 2005, sur 9 cas rapportés dans les département des yvelines, de Lain de l'Aveyron et des Hauts- de- la Seine, il y eu 6 jeunes ont trouver la mort dont un sur place et 5 en réanimation. Tout ceci nous montre bien que les jeunes se mettent en danger, sans en avoir réellement conscience, ni penser aux conséquences négatives de ces pratiques.
En effet, on distingue deux types de jeux dangereux et de pratiques violents: -les jeux de non-oxygénation et les jeux d'agressions, dont l'identification est rendue difficile par les multiples appelations données par les enfants; alors qu'il s'agit souvent d'une même pratique ou de recherche des mêms effets.
- Les jeux de non-oxygénation, d'asphyxie ou de suffocation par compression des carotides, du sternum ou de la cage thoracique, pour resentir des sensations, des visions ,pseudo-allusinatoires.
Ils ont plurieurs noms: " trente seconde de bonheur, rêve bleu, rêve indien, jeu du cosmos, jeu des poumons, jeu de la tomate, jeu de la grenouille et jeu de foulard qui est le plus connu.
Dans la plupart des cas, il n'y a pas de rôle précis. Tantôt l'étranglé devient à son tour l'étrangleur, tantôt les enfants les font par simple fait de reproduction ou contraints par leurs copins ou encore ils le font sur eux-mêmes en guise d'auto-asphixie.
La conséquence la plus directe de ces pratiques est l'anoxie dont le prolongement peut conduire à un coma profond, voire la mort qui s'en suit. Parmi ceuxx qui pratiquent ces jeux, on trouve les occasionnels, les reguliers et les sujets dépendents.
- Les ,pratiques violents ou les jeux d'agressions. Ces jeux sont hétero-agressifs; car l'usage de la violence physique gratuite, et généralement se fait en interaction dans un groupe de copins, les uns envers les autres . Parmi ces pratiques violentes, nous pouvons citer: les jeu de carton rouge, le jeu de la ronde, le jeu de la couleur ou de la mort subite, le jeu de taureau, le jeu de Beyrouth( consistant à frapper dans la partie sexuelle celui qui ne trouve pas une capitale du Liban ) et le happy slapping(joyeuse claque) qui consiste à filmer à l'aide de son téléphone portable, une agresssion perpétrée par surprise, puis procéder à la diffusion de ces images( ce jeu est puni par la loi du 22/03/07.
Qu'ils soient intentionnels ou contraints, ces jeux peuvent avoir des conséquences graves telles que: hématomes, fractues et séquelles neurologiques, manifestations psycho-tramatique, des symptômes anxio-depressifs pouvant conduire à la phobie scolaire et à des pensées suicidaires. Les risues de mort ne sont pas n'ont plus à négliger.
Même si l'âge de l'adolescence est celui de tous les risques,, il es clair qu'il faut qussi dans certains cas savoir discerner pour poser des limites des ses actes.
Comment alors expliquer ce goût excessif du risque chez les jeunes d'aujourd'hui sans voir les conséquences dramatiques qui peuvent conduire les victimes à la mort? Faut-il tout simplement y voir les motifs ludiques ou des tendances au sadisme et à la délinquance? Peut-on envisager une socièté moins violente pour l'avenir?

mercredi 25 février 2009

Vos réactions et reflexions

Que pensez-vous de ce constat sur la violence scolaire?

Est-il possible d'envisager que les institutions parviendraient-elles à mettre un terme un jour à cette violence dans les éablissements scolaires?

D'après votre avis, la violence à l'école prendrai-t-elle de plus en plus de proportions inquiétantes ou est-elle en regression par rapport aux années précédentes?

Article:

La violence, à l'intérieur ou à l'extérieur des institutions scolaires, est une donnée permanente de l'histoire de la jeunesse à travers les âges. Au XIIIe siècle, les étudiants de la Sorbonne se battent à plusieurs reprises, à mains armées, avec les bourgeois parisiens, la police du prévôt de Paris, ou même, en 1278, avec les moines de l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés. Au XIXe siècle, le lycée Louis-le-Grand a connu huit révoltes d'élèves (on disait alors « mutineries ») entre 1815 et 1883, dont plusieurs nécessitèrent l'intervention de la police parisienne. Plus près de nous, Hervé Hamon et Patrick Rotman ont comptabilisé, dans leur ouvrage Tant qu'il y aura des profs , les violences scolaires recensées par la presse entre 1979 et 1984. La liste est impressionnante et comprend, outre rackets, affrontements entre bandes et viols, trois meurtres, dont deux d'adultes.Pour les historiens, la violence des jeunes au sein des établissements scolaires n'a donc rien de nouveau, comme d'ailleurs la violence des jeunes en général. Tout adulte qui garde un souvenir objectif des cours de récréation sait que la loi du plus fort s'y exerce souvent.La violence scolaire prend en revanche à chaque époque des formes nouvelles, et la société y réagit à chaque fois en fonction de valeurs et de critères qui eux-mêmes évoluent.

mardi 13 janvier 2009

Je suis étudiant à l'ISP, en licence en session. Depuis le début de mon parcours de formation, j'ai toujours été intéressé par la question de la violence scolaire. Elle devient un problème de société, dans la mesure où l'école n'est pas en dehors de celle-ci. La violence scolaire est un phénomène qui inquiète sérieusement tant le monde éducatif que le reste des acteurs sociaux. La façon dont les média s'emparent aujourd'hui de cette question pousse à la dramatisation. Ces propos médiatiques sont-ils un simple tapage, un cri de détresse, une manière de disqualifier les politiques éducatives en place?


Pas plus tard qu'hier, la Presse a rapporté dans ces colonnes d'informations qu'un professeur d'électrotechnique a été poignardé par un élève du lycée professionnel Pierre et Marie-curie de Château-gontier(Mayenne). Ce cas récent montre à suffisance que les agressions physiques sont des faits réels à répétition qui se restent d'actualité dans les établissements scolaires. Ces faits sont en même temps symptomatiques ou révélateurs des multiples malaises sociaux qui se doivent d'être analysés en profondeur afin d'élargir notre regard sur ce phénomène; essayer de le comprendre pour mieux se positionner. Suffit-il tout simplement de responsabiliser ou culpabiliser les élèves? Comment les politiques éducatives peuvent-elles parvenir à prévenir, voire à juguler ce type d'agression? Faut-il rester passif devant ces actes violents qui mettent tout le monde en insécurité?


Vous pouvez réagir sur ce blog pour faire vos commentaires,donner vos réactions ,vos réflexions et vos positions. Vous pourrez aussi nous envoyer les faits les plus récents qui montrent que les agressions sont devenues un phénomène récurrent et inquiétant pour le monde éducatif, et nous tenir au courant de tous les efforts qui sont en train d'être déployés çà et là pour dénoncer et apporter des tentatives de solutions à ce phénomène. Enfin penser à l'avenir de l'école face aux différentes formes d'agression physique.