Présentation de mon champ de recherches

PRESENTATION
Dans le cadre de mon master à l'ISP, l'année prochaine, j'ai retenu :les Actes d'agressions à l'école, comme sujet de recherche. Il est question dans un premier temps, de rassembler tous les actes de violence les plus récents, qui se sont produits dans les établissements scolaires en France comme ailleurs. Ensuite nous passerons à l'identificatioin et à la classification de ces actes. Dans un second temps, nous porterons un regard analytique pour en déceler les motivations et les facteurs et les raisons de ce nouveau phenomène de violence scolaire qui ne cesse de défrayer la chronique. Enfin nous ferons des propositions qui iront dans le sens de la responsbilisation des parents, de l'institution scolaire et des politiques de l'Etat, afin d'inviter tous les acteurs sociaux impliquer dans l'éducation des enfants, à s'engager et se mobiliser dans la lutte contre ce phénomène qui menace l'avenir de la société.

lundi 9 mars 2009

Comment lutter contre l'essor des jeux dangereux à l'école

Il y a à mon avis un autre fait auquel je vous convie de refléchir: Ce sont les jeux dangereux et les pratiques violentes au sein des établissments scolaires. C'est un phénomène récent, mais récurrent qui met la vie des élèves en danger; même si l'on ne dispose pas avec certitude le nombre de victimes, les enquêtes publiées par SMUR pédiatrique donnent des résultats édifiants sur l'ampleur et la gravité de ces jeux. A titre d'illustration, en la seule année 2005, sur 9 cas rapportés dans les département des yvelines, de Lain de l'Aveyron et des Hauts- de- la Seine, il y eu 6 jeunes ont trouver la mort dont un sur place et 5 en réanimation. Tout ceci nous montre bien que les jeunes se mettent en danger, sans en avoir réellement conscience, ni penser aux conséquences négatives de ces pratiques.
En effet, on distingue deux types de jeux dangereux et de pratiques violents: -les jeux de non-oxygénation et les jeux d'agressions, dont l'identification est rendue difficile par les multiples appelations données par les enfants; alors qu'il s'agit souvent d'une même pratique ou de recherche des mêms effets.
- Les jeux de non-oxygénation, d'asphyxie ou de suffocation par compression des carotides, du sternum ou de la cage thoracique, pour resentir des sensations, des visions ,pseudo-allusinatoires.
Ils ont plurieurs noms: " trente seconde de bonheur, rêve bleu, rêve indien, jeu du cosmos, jeu des poumons, jeu de la tomate, jeu de la grenouille et jeu de foulard qui est le plus connu.
Dans la plupart des cas, il n'y a pas de rôle précis. Tantôt l'étranglé devient à son tour l'étrangleur, tantôt les enfants les font par simple fait de reproduction ou contraints par leurs copins ou encore ils le font sur eux-mêmes en guise d'auto-asphixie.
La conséquence la plus directe de ces pratiques est l'anoxie dont le prolongement peut conduire à un coma profond, voire la mort qui s'en suit. Parmi ceuxx qui pratiquent ces jeux, on trouve les occasionnels, les reguliers et les sujets dépendents.
- Les ,pratiques violents ou les jeux d'agressions. Ces jeux sont hétero-agressifs; car l'usage de la violence physique gratuite, et généralement se fait en interaction dans un groupe de copins, les uns envers les autres . Parmi ces pratiques violentes, nous pouvons citer: les jeu de carton rouge, le jeu de la ronde, le jeu de la couleur ou de la mort subite, le jeu de taureau, le jeu de Beyrouth( consistant à frapper dans la partie sexuelle celui qui ne trouve pas une capitale du Liban ) et le happy slapping(joyeuse claque) qui consiste à filmer à l'aide de son téléphone portable, une agresssion perpétrée par surprise, puis procéder à la diffusion de ces images( ce jeu est puni par la loi du 22/03/07.
Qu'ils soient intentionnels ou contraints, ces jeux peuvent avoir des conséquences graves telles que: hématomes, fractues et séquelles neurologiques, manifestations psycho-tramatique, des symptômes anxio-depressifs pouvant conduire à la phobie scolaire et à des pensées suicidaires. Les risues de mort ne sont pas n'ont plus à négliger.
Même si l'âge de l'adolescence est celui de tous les risques,, il es clair qu'il faut qussi dans certains cas savoir discerner pour poser des limites des ses actes.
Comment alors expliquer ce goût excessif du risque chez les jeunes d'aujourd'hui sans voir les conséquences dramatiques qui peuvent conduire les victimes à la mort? Faut-il tout simplement y voir les motifs ludiques ou des tendances au sadisme et à la délinquance? Peut-on envisager une socièté moins violente pour l'avenir?